À l’âge de 15 ans j’ai reçu une véritable « baffe culturelle » en découvrant la voix de Carole Fredericks sur la chanson « pas de Boogie Woogie » sur un CD des enfoirés. Cette dame est passée de l’autre côté seulement quelques jours après !

J’étais très loin d’imaginer que cet intérêt très personnel pour cette dame m’emmènerait aux USA par deux fois, dans son appartement à Paris, mais aussi à rencontrer des gens qui l’ont connue,  à collaborer avec le webmaster de son site – carolefredericks.fr – Jean-Michel Royer pour mon livre « Le Québec, de routes et de gravelles » , à recevoir Connie sa soeur en Aveyron de temps en temps, à découvrir l’univers de Jean-Jacques Goldman, à avoir un échange épistolaire avec lui sur l’enfance et la citoyenneté et etc…

Ce fait est une sorte de fil rouge important dans ma constitution personnelle mais également indirectement professionnelle.

Mes amis Connie et Jean-Michel ont offert une part importante pour la réalisation de ce livre sérieux et richement documenté, par Alexandre Fiévée.